blyatzKrieg

joined 1 year ago
 

Ils ont chacun un peu d'expérience, l'un connait la foret pour avoir passé 6 mois avec des amerindiens (sur le haut maroni si je me gourre pas) l'autre est orienté trek sur toutes sortes de terrains. Ils sont complémentaires, ça fait plaisir de les voir faire un truc ensemble. Le thème c'est de compter sur la forêt pour les nourir.
Toutes les jungles ne se valent pas, la guyane est assez pauvre, réussir à bouffer dedans c'était un pari difficile. Pas trop risqué parcequ'ils avaient de la bouffe en back-up et ils sont pas seuls, l'expérience est interressante. Domage qu'ils ne parlent pas plus des techniques pour boucanner le poisson etc mais bravo à eux.

[–] [email protected] 10 points 1 year ago* (last edited 1 year ago) (4 children)

Bien essayé, tu tromperas ceux qui n'ont pas lu.

La plupart des personnes tuées suite à une action des forces de l’ordre n’avaient soit commis aucun délit, soit des délits mineurs (infractions au code de la route, tapage nocturne), soit des petits délits économiques (vol de voitures, vol à l’étalage), soit encore des infractions provoquées par l’interpellation elle-même (délit de fuite). Pourtant, ces cas constituent la moitié des personnes décédées des suites d’une intervention.

un profil de la victime est récurrent. Il s'agit d’un homme âgé de moins de 27 ans, au nom à consonance africaine ou maghrébine qui habite un quartier populaire en périphérie d’une agglomération comme Paris, Lyon ou Marseille. Cette géographie est sensiblement différente de celle des crimes et de la délinquance violente – homicides, coups et blessures volontaires, vols et violences avec armes, violences sexuelles – même si l’Île-de-France, et notamment Paris, ou la ville de Marseille demeurent des points chauds. Le taux d’homicides ou les violences sexuelles sont, par exemple, parfois plus élevés dans les petites villes et villes moyennes d’autres régions.

Parmi les 489 personnes tuées par balles, 275 n’étaient pas armées, soit 56%.

Il y a une sacrée marge d'amélioration, ils font n'importe quoi depuis 10-20 ans.

[–] [email protected] 1 points 1 year ago

Quand la connerie institutionelle est systémique:

La maturité de celui qui va au contact des événements doit être proportionnelle à la difficulté de ce contact. Il faudra qu’on m’explique à cet égard pourquoi des institutions comme l’éducation nationale ou la police font exactement l’inverse et envoient leurs « bleus » dans les endroits les plus difficiles, pour s’étonner ensuite de constater des problèmes.